Je m’étonne de ne pas t’en avoir parlé plus tôt, ou même de ne pas avoir commencé un article dessus avant aujourd’hui. C’est très étrange. 😕 Il s’agit de la première Naked Basics d’Urban Decay.
La première, car depuis, ils en ont sorti une numéro deux que j’aurais choisie si j’avais eu le choix au moment de mon achat… Enfin ça, je ne pouvais le prévoir.
Cette palette ne contient que des fards dits nudes et mats sauf le premier qui est satiné, un tout petit peu. En dehors du fait qu’elle est très dure à ouvrir (pratique pour qu’elle ne s’ouvre pas dans le sac), elle est très pratique pour un maquillage de tous les jours. Il suffit d’un fard de couleurs pour la compléter si on veut un peu de fantaisie vite fait. Par exemple, je l’utilise avec un fard vert et un crayon vert ou bien avec un jumbo pailleté, ou tout simplement toute seule.
Elle est au format poche, toute petite. C’est vraiment une palette nomade à emporter en voyage, en vacances. Elle est idéale pour les femmes pressées.
Les couleurs sont pigmentées comme il faut, un peu poudreuses, mais pas de trop tout de même. Il ne faut pas oublier de nettoyer les petites chutes après usage. Rien d’alarmant tout de même. Ça part vite. Les swatchs de l’internet sont fiables, merci, Google. Une base n’est pas nécessaire, mais pour une meilleure tenue, je le conseille tout de même.
J’adore son miroir dans lequel on se voit fort bien. Je m’en sers pour me maquiller et mettre mon mascara. C’est bien la première fois que ça m’arrive avec un miroir intégré. D’habitude, je me contente de me regarder et puis de prendre mon miroir de poche.
En conclusion, j’ai longtemps hésité et maintenant, je me demande pourquoi. Elle est parfaite. Son seul défaut est d’être compliquée à ouvrir, l’aimant est fort.
Allez, l’une ou l’autre vidéo pour savoir comment servir, comme d’habitude ?
C’est toujours fort semblable comme propositions de makeup, je sais…